Olivia Lioret

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ARTISTE CHOREGRAPHIQUE ET TRAVAILLEUSE SOCIALE

Formée au CDC de Toulouse (formation Extensions), à l’Abbaye de Royaumont (programme Transforme), à l’Université Paris VIII (licence danse) et au CND de Pantin (Edition Spéciale), Olivia suit également des stages avec Mark Tompkins, François Chaignaud et Cecilia Bengolea, Alban Richard, Myriam Gourfink, Eleanor Bauer, Deborah Hay, Boris Charmatz, Fanny de Chaillé, Maud Le Pladec, Daniel Linehan.

En tant qu’interprète, elle travaille en France et à l’étranger avec Veronica Vallecillo, Robert Carsen et Philippe Giraudeau, Romeo Castellucci et Cindy Van Acker, Vania Vaneau , Micheline Lelièvre, Sébastien Laurent. Elle collabore régulièrement avec des artistes issus des arts visuels : Arsniy Zhilyaev, Hwayeon Nam, Lola Gonzales, Sojung Jun, Min Oh, Francesca Bonesio et Nicolas Guiraud.

Olivia développe également ses propres projets chorégraphiques. Ceux-ci prennent différentes formes de l’installation au spectacle en passant par la vidéodanse. De 2011 à 2016, la compagnie meta porte ses travaux ainsi que ceux de l’artiste chorégraphique Flora Gaudin. Pendant cette période, elle crée Parade, Hiviniziki  et Figurations et co-crée avec Flora Gaudin Duplex et, avec Violette Angé et Flora Gaudin, Amateurs. Depuis 2016, c’est l’association Bora Bora qui produit ses créations, régulièrement soutenues par l’Echangeur / CDC Hauts-de-France, la Ménagerie de Verre, Micadanses et le CND de Pantin. Parallèlement, elle donne de nombreux ateliers de danse au sein d’associations diverses à Paris et en Ile-de-France.

Depuis une dizaine d’années, elle donne des cours et ateliers de danse ponctuels ou réguliers auprès de publics divers (enfants, adultes, seniors, personnes en situation de handicap)

Sensible au travail social, elle a travaillé comme bénévole puis comme salariée en tant qu’intervenante sociale à Ligue des Droits de l’Homme, à l’ADJIE et à la Fondation l’élan retrouvé. Dans ce cadre, elle suit des formations courtes : une Introduction au Droit des étrangers ainsi qu’une Introduction aux Troubles du Spectre de l’Autisme (TSA). Elle accompagne successivement des personnes sans papier, des mineurs isolés et enfin des personnes en situation de handicap psychique.

En 2020, elle décide de cristalliser ses intérêts et ses compétences au sein d’un nouveau projet : le Projet-Phare, qui devient le pilier central de l’association. Celui-ci regroupe des ateliers de danse et des accompagnements en médiation culturelle à destination des personnes fragilisées accueillies au sein de structures sociales, sanitaires et médico-sociales.